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Comment les neurosciences expliquent notre résignation face à notre manque de temps

Un magnifique berger allemand est allongé dans un coin d’une cabine métallique et gémit. Il gémit car il reçoit des chocs électriques terriblement douloureux qui devraient le faire hurler de douleur et fuir. Et pourtant il reste docile dans sa cabine.

Comment en est-il arrivé là ?

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En 1967, dans le laboratoire de l’université de Pennsylvanie, des chiens ont été soumis à des décharges électriques par Martin Seligman, un professeur en psychologie.

Le professeur Seligman a soumis des chiens à des chocs électriques douloureux alors qu’ils ne pouvaient pas s’échapper. Dans un premier temps, ils hurlaient de douleur, ils urinaient et ils tiraient sur leur harnais.

Puis au bout de quelques heures, ils arrêtaient de résister.

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Le professeur Seligman les plaçait alors dans une autre cage où les chiens pouvaient facilement échapper aux chocs électriques en franchissant une cloison basse. Et pourtant, les chiens ne réagissaient pas. Ils restaient dans leur cage et subissaient les décharges électriques.

Le berger allemand était donc en fait résigné, pensant qu’il n’y avait pas de solution alors que celle-ci existait : il lui suffisait juste de franchir la barrière.

J’ai été moi-même également comme le chien de Martin Seligman, souffrant de mon manque de temps, j’étais résigné et je faisais le gros dos pensant que cela allait passer. Et pourtant, j’avais la possibilité de franchir la barrière pour changer de situation, mais je n’en avais pas conscience. 

Puis en 2011, ma vie a basculé… Et j’ai désormais trouvé un équilibre de vie satisfaisant !

Albert Camus a dit : « L’espoir, au contraire de ce qu’on croit, équivaut à la résignation. Et vivre, c’est ne pas se résigner. » 

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