Nous passons trop de temps au travail !

Sous la pression de la norme sociale et pris dans le flot quotidien en mode de pilotage automatique, on peut avoir l’impression que le travail est une fin en soi : notre travail est LE moyen de s’accomplir et d’être « quelqu’un ».

Nicolas Bouzou et Julia de Funès nous explique dans leur livre la Comédie (in)humaine que le travail est une composante importante de notre vie, mais pas fondamentale.

A cet effet, nous devons prendre conscience que le travail n’est qu’une composante parmi nos priorités de vie. Et à ce titre, nous devons retrouver un esprit lucide et bienveillant sur la correcte priorisation de notre travail dans notre vie.

Voici un extrait de la Comédie (in)humaine.

« C’est une chose de dire que, par le travail, on contribue au maintien voire à l’accroissement de son estime personnelle ; c’en est une autre de transformer le travail en un impératif suprême où l’individu devient esclave de son activité et où aucun autre espace de liberté ne lui est accessible.

C’est une chose de travailler pour vivre une vie épanouie ; c’en est une autre de vivre uniquement pour travailler.

C’est une chose de penser le travail comme un moyen d’accomplissement ; c’en est une autre de le penser comme la forme suprême de l’accomplissement.

C’est, une chose de reconnaître ; l’importance du travail dans la vie d’un individu ; c’en est une autre de réduire un homme à son travail. »

Et vous, est-ce que votre travail occupe une place trop importante dans votre vie par rapport à vos autres priorités de vie ?

Oui !? Mais alors comment faire.

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